Les Vitalabri n’ont ni patrie ni pays. Sans abri, sans papiers, avec comme seuls biens leur musique et la liberté, les Vitalabri continuent leur errance. J.C Grumberg, avec son humour corrosif et tendre, mène une très jolie réflexion sur l’exil, la liberté, la famille, le rejet d’un peuple mal aimé, le rôle de l'artiste dans la société.