L'ECHO Nacera Belaza & Valérie Dréville, en représentation le jeudi 06 novembre 2025 au Théâtre de Corbeil-Essonnes. L'ECHO, c’est la rencontre de deux sensibilités vibrant à l’unisson : l’une défendant l’idée que la danse est une parole dans le corps et l’autre qui lorsqu’elle joue au théâtre fait résonner son corps par les mots.
Une programmation FESTIVAL D'AUTOMNE festival-automne.com/fr
L'ECHO ou la rencontre de deux passionnantes figures de la scène contemporaine.
À l’occasion d’une rencontre organisée par la Maison de la culture de Seine-Saint-Denis, la chorégraphe Nacera Belaza et la comédienne Valérie Dréville ont entamé un travail inédit autour du corps comme réceptacle de l’imaginaire – la capacité d’expression de la danse qu’elle conçoit comme « une parole dans le corps » ayant toujours été pour la chorégraphe un ressort de son travail.
Une complicité instinctive est née, portée par la densité intérieure de la femme de théâtre et sa capacité à incarner la parole dans le corps. Il s’agissait alors d’approfondir cette résonance, de dévoiler les échos souterrains reliant leurs deux mondes artistiques.
Depuis plus de 30 ans, Nacera Belaza trace son chemin dans le milieu de la danse contemporaine. Proposant une approche esthétique unique, poussée par la nécessité vitale de s’exprimer, son langage chorégraphique intègre le mouvement comme un souffle.
Sa rencontre avec Valérie Dréville, comédienne formée au Théâtre national de Chaillot, puis au Conservatoire national supérieur d’art dramatique de Paris et à la Comédie-Française, lui révèle l’évidence d’une quête similaire : « Comme si nous cherchions à sonder les mêmes profondeurs de l’être, et que l’art n’était qu’un outil pour parvenir à cette fin. »
Naît alors le désir d’un travail commun, de trouver convergence au plateau en s’y retrouvant toutes deux interprètes. Cette création, encore en cours, fruit de la réunion de ces deux artistes exigeantes, promet un duo d’une grande finesse.
PORTRAIT Nacera BELAZA
Danser, une nécessité vitale. Comme respirer. Dans ses pièces, Nacera Belaza poursuit son exploration: sculpter le vide, lui donner un corps, le rendre palpable. « Ceci n’est pas de la danse, ceci est un trait, un seul mouvement, celui d’échapper à soi…», indique cette autodidacte née en 1969 dans un hameau proche de Médéa, en Algérie.
C’est là aussi qu’elle passe sa petite enfance, avant que sa famille ne s’installe à Reims, 1973. Poursuivre la lecture sur cette page
L'ECHO
Jeudi 06 novembre | 20h
THÉÂTRE DE CORBEIL-ESSONNES
22 Rue Félicien Rops - 91100 Corbeil-Essonnes
01 69 22 56 19 | infotheatre@grandparissud.fr





