Le metteur en scène Yves-Noël Genod développe un théâtre dont on aurait enlevé le drame, l’action et dont il ne resterait que la poésie, le fantôme, la trace. Pour le Carreau du Temple, il crée une performance pour une centaine de danseurs professionnels et amateurs dans la Halle dénuée de tout artifice.